25 ans après la libération de la République démocratique par un coup d’Etat sous la houlette de Laurent Désiré Kabila, le mouvement citoyen OBAPEG/RDC qualifie cette libération de ratée suite à la médiocrité qui a élu domicile au sein de la classe politique du pays.
Selon Amos Bisimwa, coordonnateur du mouvement citoyen OBAPEG au Sud Kivu, il est inadmissible qu’un pays dit libérer soit martyrisé par ses propres dirigeants.
L’homme qui s’était engagé à libérer la RDC était venu avec de bonnes initiatives malheureusement les ennemis de la république n’ont pas accepté qu’il puisse matérialiser sa vision et il est mort avec sa vision. A son arrivée au pouvoir il y avait un espoir mais après sa mort tout est tombé par terre et aujourd’hui tout va de mal en pis et de continuer: “Nous devons militer pour combattre cette médiocrité qui a élu domicile dans notre pays, nous devons nous battre pour la refondation de l’Etat congolais parce que rien ne va et cela sur tous les plans. Tout est dans la rue”
Ce dernier appel donc la population congolaise plus principalement celle du Sud Kivu à ne pas se décourager mais, à l’exemple du feu Laurent Désiré Kabila, qu’elle se batte pour sa survie et la survie du pays.
Rappelons que 17 mai 1997-17 mai 2022, cela fait, vingt-cinq ans depuis la fin du règne de Joseph-Désiré Mobutu, après trente-deux ans de pouvoir sans partage, sur un territoire quatre fois plus grand que la France. Le 17 mai, c’est aussi l’anniversaire de l’arrivée au pouvoir de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL), conduite par Laurent-Désiré Kabila appuyée par des troupes rwandaises et ougandaises.
Wivine Ngango
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